Madrid & père




Avril ’11

Combien de fois dans sa vie va-t-on chercher son père à l’aeroport et non l’inverse?
Après une petite visite de Madrid, ses rues et musées, et du bon temps chez Carlos et Inna, de Warmshowers, il est temps de sortir le nouveau vélo de mon père de sa boite et lui faire voir la route. Quelques derniers moments chez nos hôtes, de vrai maniaques de vélos (il y a des vélos partout, même dans les placards!) et on prend le train vers Aranjuez en banlieue pour éviter le traffic de la capitale.
Première journée sur les chemins de terre puis suivi d’une solide pente en arrivant sur Toledo, c’est le truc parfait pour une iniation de mon père et de sa monture. Ça part fort, mais une fois arrivés on peut commencer a profiter de l’Espagne, de ses petites pensions, de sa cuisine, … et plus, pour cinq semaines.
On va vite s’habituer à un bon lit, une bonne douche et un bon resto pratiquemment tout les soirs. Un petit changement de mon coté, mais faut bien profiter un peu. En Espagne les restos proposent des menus du jour où souvent le café, le dessert et le vin son inclut. Entre ça et les tapas servis gratuitement avec les bières, difficile de ne pas passer un bon moment.

Notre première semaine se passe bien, dans la chaleur du printemps à rouler près des champs et moulins qui on marquer l’histoire de Don Quichote, pour ensuite passer aux collines parfois sauvage, mais surtout, surtout, remplis d’oliviers. À perte de vue, on a vu des millions, ou plutôt des milliards d’olives. Vallées après vallées. Bienvenue au pays de l’aceite de olivia!

En chemin on a gouté de la joue de mouton (un peu gras en fait), mangé pas mal et bu sur des terrasses.

Un bon (re)départ.

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